La conservation à l’université
Comité de CIC au Lethbridge College et Les Piliers des milieux humides de l’Université du Manitoba

« Nous voulons faire œuvre utile », lance Alyssa Barbero, vice-présidente du plus ancien comité universitaire de CIC au Canada. Alyssa fait partie de ce comité depuis sa première année d’études au Lethbridge College parce qu’elle « tenait à savoir de quoi il s’agissait ». Trois ans plus tard, elle ne regrette pas sa décision. « Notre comité est formé de jeunes passionnés de la conservation », explique-t-elle. Le groupe du Lethbridge College compte une soixantaine de membres. Chaque année, il organise un banquet à l’automne et une réunion de fraternisation au printemps. Elle a un conseil à donner aux étudiants qui envisagent de mettre sur pied un comité de CIC sur le campus de leur université : « Tenez bon. Même si vous n’êtes que trois, il ne faut pas lâcher. Et si vous êtes nerveux ou que vous n’êtes pas certains de quoi que ce soit, posez des questions. »

©CIC
Au Manitoba, c’est un autre comité universitaire qui voit le jour. Animés de la même passion pour la mission de CIC, trois étudiants en sciences de l’environnement ont fondé au début de l’année le comité des Piliers des milieux humides de l’Université du Manitoba.
« Je crois que CIC fait des merveilles, et pour lui permettre de continuer de le faire, il faut mobiliser les jeunes dès le début », confie Megan Porath, bénévole depuis longtemps. Elle a lancé ce comité universitaire avec des collègues, Martin Pilon et Lindsay Siebel. Ce comité de 15 membres a organisé son premier grand dîner-bénéfice ce printemps. Les billets se sont vendus en l’espace d’une semaine. « C’était notre premier banquet, mais ce n’est certes pas le dernier », affirme-t-elle.