Les réalisations de notre grande famille de conservationnistes en 2016
La famille de conservationnistes de CIC laisse une empreinte indélébile sur la conservation de l’habitat, ce qui fait rejaillir des bienfaits sur l’eau, la faune et toute la population. Grâce à vous, 2016 a été une année exceptionnelle pour les efforts de conservation de CIC.

1. Les milieux humides
La sauvagine et la faune en général dépendent des milieux humides, pour vivre, se nourrir et se reproduire. Les humains comptent eux aussi sur eux pour améliorer la qualité de l’eau, lutter contre les inondations et l’érosion et réduire les gaz à effet de serre.
Grâce à votre aide, CIC fait reculer les frontières urbaines de la restauration des milieux humides : les villes font des milieux humides leurs infrastructures naturelles pour capter les eaux pluviales. Grâce à leurs caractéristiques hydrographiques, les parcours de golf naturalisés sont bénéfiques pour la faune, la qualité de l’eau et les loisirs.
En 2016, nous avons tout mis en œuvre pour protéger les milieux humides d’un océan à l’autre. Nos bénévoles et nos partenaires ont livré une lutte constante à des espèces envahissantes, comme la châtaigne d’eau ou le phragmite.

2. Les prairies herbeuses
Dans les Prairies canadiennes, 75 % des pâturages indigènes ont disparu. Heureusement, grâce à nos travaux, nous aménageons un paysage fonctionnel dont profitent la faune et toutes les communautés.
Nous avons noué des liens solides avec des familles d’agriculteurs pour qu’elles puissent conserver la plus grande partie de leurs terres. Nous nous sommes alliés à des producteurs dans le cadre d’ingénieux programmes de fourrage permettant de nourrir le bétail tout en préservant l’habitat de nidification vital de la sauvagine.

3. La forêt boréale
La forêt boréale s’étend sur plus de la moitié du territoire canadien. Dans la région, la forêt et les milieux humides intacts s’étendent sur une superficie d’environ 485 millions d’hectares. Quinze millions de canards nichent dans les milieux humides boisés de la forêt boréale et ses alentours.
Grâce à votre générosité, notre équipe de spécialistes de la forêt boréale a su, en 2016, harmoniser conservation et développement, en effectuant de la recherche sur la sauvagine, en encadrant des pratiques industrielles innovantes et en nouant des liens enrichissants avec les communautés autochtones.

4. L’eau
Source de vie, l’eau peut aussi être une malédiction sans la présence des milieux humides pour atténuer les effets des changements climatiques.
En 2016, CIC a mené des recherches sur les bienfaits écologiques et économiques des milieux humides. À l’heure actuelle, nous réalisons des travaux de recherche à long terme pour connaître l’impact des bassins versants sur nos collectivités. Nous mesurons l’aide que nous apportent les milieux humides pour atténuer les effets des changements climatiques en emmagasinant les gaz à effet de serre. Nous sensibilisation la population sur l’importance de l’eau pour que plus de Canadiens comprennent la nécessité de protéger cette ressource vitale.

5. La sauvagine
C’est grâce à d’ardents supporteurs comme vous que CIC est aujourd’hui le chef de file de la conservation des milieux humides et de la sauvagine.
L’année 2016 marquait le centenaire de la Convention des oiseaux migrateurs, mais il y a encore tant à apprendre sur ces créatures. Grâce aux perfectionnements de la technologie, nous savons aujourd’hui que de nombreux oiseaux migrateurs volent plus loin et plus vite et suivent des parcours plus variés que ce que l’on croyait auparavant. Et grâce à nos efforts de conservation de l’habitat, les populations nord-américaines de canards restent stables. C’est ainsi que les populations de la plupart des espèces de sauvagine ont atteint des niveaux excellents en 2016 : par exemple, on a estimé à 48,4 millions la population des canards nicheurs.

6. La faune
Grâce à nos efforts de conservation d’habitats, les espèces végétales et animales aujourd’hui florissantes se comptent par milliers.
Les populations de nombreuses espèces de végétaux, d’animaux et d’insectes se portent bien et sont protégées. Et pourtant, elles sont de plus en plus nombreuses à être menacées. CIC a compris que la disparition des habitats, les changements climatiques et les contaminants environnementaux expliquent en partie le déclin de ces espèces. Nous tâchons d’analyser en profondeur les réseaux écologiques que tisse la nature, par exemple la relation entre les milieux humides et les pollinisateurs, comme les abeilles, ou comment les milieux humides nous aident à comprendre et à prévenir les menaces qui planent sur la pêche récréative au Canada.

Encore une fois, merci de nous aider à mener à bien notre mission de conservation. Grâce à vous, nous pourrons miser sur nos réalisations pour laisser sur la conservation une empreinte encore plus marquante en 2017.